21 mai 2012

This post is also available in: Anglais Italien Espagnol

Facebooktwitterredditpinterestlinkedinmail

La journée, ouverte par l’encourageante invitation de Jésus: «Ayez courage: j’ai vaincu le monde», a été dédiée à l’approfondissement de ces principes charismatiques qui fondent notre action apostolique. Une prémisse indispensable pour pouvoir regarder, dans les prochains jours, la réalité socio-ecclésiale d’Afrique-Madagascar à la lumière de notre identité charismatique et repérer les chemins possibles pour continuer à être, “ensemble” (c’est la parole clé), présence évangélisatrice audacieuse et prophétique.

Avec profonde attention a été suivie l’Intervention de Sr. M. Antonieta Bruscato. La Supérieure générale, prenant appui sur le cri de Paul: «Malheur à moi si je n’évangélise pas», a ré-parcouru l’histoire de la Congrégation e a mis en évidence les éléments durables de la mission paulinienne, qu’elle a dit «solide, consistante, pérenne car elle suit en tout celle de Jésus». Nombreux sont les défis, à recueillir et à concrétiser. Le plus urgent: nous réapproprier de la fraîcheur et du dynamisme des premiers temps, dans la confrontation constante avec les changements en acte.

Sr. Anna Caiazza a traité le thème de la passion apostolique, dimension connaturelle à la vocation paulinienne à cultiver et à alimenter continuellement. La passion apostolique, en effet, «est fruit d’exercices continuels à l’école du Maître; elle est faite de recherche constante des voies de Dieu, et d’attention vigilante à ses signes; elle requiert “curiosité intellectuelle”, attitude à la perception positive de réalités et problèmes, capacité d’entrer en dialogue avec la société, avec l’histoire, même la plus dramatique».

Et, enfin, Sr. Gabriella Santon, économe générale, a souligné la nécessité de chercher un profond et vital équilibre entre apostolat et économie. «L’économie est au service de l’apostolat et l’apostolat donne continuité et solidité à l’économie». Oublier cette mutuelle relation peut mettre en risque notre action évangélisatrice et pénaliser l’apostolat. Au contrarie, une sage administration aide non seulement à maintenir, mais aussi à amplifier et donner développement à nos activités.

En soirée, père Sabino Ayestarán a donné quelques  notes méthodologiques et rencontré les 12 sœurs qui dans les prochains jours feront les coordinatrices et “évaluatrices” dans les groupes de travail. Demain on vous renseignera sur le sujet.


Scroll to top